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 Fiche de lecture du roman*le père Goriot*

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fath allah azeddine
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Fiche de lecture du roman*le père Goriot*  Empty
MessageSujet: Fiche de lecture du roman*le père Goriot*    Fiche de lecture du roman*le père Goriot*  EmptySam Mar 17, 2012 2:49 pm

Fiche de lecture du roman*le père Goriot*

La biographie de Balzac
Honoré de Balzac (1799-1850) est un romancier français qui, avec près de quatre-vingt-dix romans et nouvelles, a écrit ce qu’il appelle la Comédie humaine, un portrait minutieux de la société française du xix e siècle.
Né à Tours, Honoré de Balzac fait des études de droit avant de choisir la carrière d’écrivain. Après une tragédie ratée, Cromwell (1820), il aborde différents genres.
Honoré de Balzac connaît son premier succès en 1829 avec un roman historique : le Dernier Chouan. Il consacre dès lors sa vie à l’écriture. En vingt ans, il publie quelque quatre-vingt-dix romans et nouvelles qui composent son œuvre colossale, la Comédie humaine.
Parmi ses ouvrages les plus connus : la Peau de chagrin (1831), Eugénie Grandet (1833), le Père Goriot (1835), le Lys dans la vallée (1836), Illusions perdues (1837-1839), Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1847), la Cousine Bette (1846), le Cousin Pons (1847).
Avec la Comédie humaine, le romancier décrit la société française de son époque avec minutie, historiquement et socialement. Il crée une multitude de personnages (près de 2 500) dont certains se retrouvent d’un roman à l’autre. Le génie d’Honoré de Balzac repose tant sur l’observation que sur l’imagination.
Le 19éme siècle


Né avec la Révolution française, le xix e siècle peut être défini comme un siècle de révolutions. Il est en effet marqué par la naissance de l’économie capitaliste et industrielle (les révolutions industrielles) et par l’avènement de la démocratie contemporaine (avec les révolutions nationalistes). Aujourd’hui encore, notre société continue de fonctionner selon ces principes.
La littérature française du XIX e siècle s'inscrit dans une période définie par deux dates repères : 1799 , date du coup d'État de Bonaparte qui instaure le Consulat et met d'une certaine façon fin à la période révolutionnaire, et 1899 , moment de résolution des tensions de l' affaire Dreyfus et de la menace du Boulangisme et où s'imposent finalement les valeurs de la IIIe République . La modernité littéraire s'affirme dans ce siècle à l'Histoire mouvementée avec des courants marquants qui touchent tous les arts, comme le romantisme , le réalisme , le naturalisme ou le symbolisme . Les créateurs les plus importants échappent cependant à un étiquetage étroit et offrent des œuvres multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine , Vigny , Musset , Hugo , Baudelaire , Rimbaud , Verlaine , Mallarmé …) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal , Balzac , Dumas , Hugo , Flaubert , Zola , Maupassant , Verne …) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones (avec Musset , Hugo , Edmond Rostand …).
Le réalisme

Le réalisme peut être défini, au sens large, comme la volonté de rendre par les mots la réalité elle-même, à partir d’une observation scrupuleuse des faits. Cet ancrage de la fiction dans un terreau réel peut se déceler dans de nombreuses œuvres au fil du temps, comme celles de Rabelais, de Boileau, de Diderot, de Stendhal ou encore de Balzac, le risque étant que son sens se dilue dans sa variété même.
Au xix e siècle, le terme est d’abord appliqué de façon péjorative par la critique à la peinture de Gustave Courbet. Passé à la littérature, il est revendiqué par Champfleury dès 1855, puis dans son manifeste le Réalisme en 1857. Mais la littérature peut-elle avoir pour seule ambition d’être un fidèle reflet de la réalité ?
La littérature réaliste est d’abord littérature : elle possède son esthétique et ne peut être qu’un miroir de la vie. Par le style, par l’agencement des faits, par le choix des héros, elle vise à produire un « effet de réel ». L’écrivain peut revendiquer d’avoir tenté honnêtement de mener son projet à bien, mais il ne peut nier le truchement de son art entre ce qu’il choisit de peindre et son lecteur. Les styles qui peuvent créer cet effet de réel sont multiples : lyrisme de Zola, écriture épurée chez Maupassant, technique de la de--SS--ion chez Flaubert…
Les écrivains dits réalistes font un énorme travail de préparation à l’écriture, par la prise de notes (Zola), ou encore par la tenue de journaux (Goncourt). Maupassant s’inspire souvent de faits divers qui servent ses évocations de Normands avides d’argent. Ces écrivains tentent de saisir à la fois une réalité psychologique, incarnée par les personnages de leurs romans, et une réalité sociale, historique, qui implique un ancrage de l’action romanesque dans un temps historique clairement défini.
Le réalisme consiste donc à choisir et à ordonner les faits, et non à les retranscrire dans le foisonnement de la vie. Si Madame Bovary confond littérature et réalité, tel n’est pas le cas des écrivains eux-mêmes, qui mettent toutes les ressources de leur art au service de leur but.
Le roman d’apprentissage

Le roman d'apprentissage, ou roman de formation est un genre littéraire romanesque né en Allemagne au XVIII e siècle (à ne pas confondre avec le roman de jeunesse ). On parle aussi de roman initiatique et, par ailleurs, de conte initiatique . En allemand, le roman de formation est nommé Bildungsroman. Ce terme est dû au philologue allemand Johann Carl Simon Morgenstern qui voyait dans le Bildungsroman « l'essence du roman par opposition au récit épique» []
Un roman d'apprentissage a pour thème le cheminement évolutif d'un héros, souvent jeune, jusqu'à ce qu'il atteigne l'idéal de l'homme accompli et cultivé. Le héros découvre en général un domaine particulier dans lequel il fait ses armes. Mais en réalité, c'est une conception de la vie en elle-même qu'il se forge progressivement. En effet, derrière l'apprentissage d'un domaine, le jeune héros découvre les grands événements de l'existence (la mort, l'amour, la haine, l'altérité, pour prendre quelques exemples). Ainsi, dans L'Éducation sentimentale ( Flaubert , 1869 ), le jeune Frédéric connaît les premiers émois de l'amour : et réfléchissant sur les sentiments qu'il porte pour Mme Arnoux, Frédéric se construit une idée de l'existence. Le roman d'apprentissage est un roman qui décrit la maturation du héros. Il part naïf, crédule et traverse des obstacles ou épreuves, afin de mûrir et d'en tirer une leçon.
Le résumer de l’histoire

En 1819, dans la pension Vauquer, au Quartier latin à Paris, un jeune étudiant de province, noble et pauvre, Eugène de Rastignac, côtoie d’autres locataires, parmi lesquels le vieux père Goriot, abandonné, la jeune Victorine Taillefer, déshéritée, et l’énigmatique colosse roux, M. Vautrin. Par sa cousine, Mme de Beauséant, qui l’introduit dans le grand monde de la Restauration au Faubourg Saint-Germain, il découvre l’histoire de Goriot, ancien vermicellier qui a sacrifié vie et fortune pour ses deux filles, Anastasie, comtesse de Restaud, et Delphine, baronne de Nucingen, occupées l’une et l’autre à leur folle vie. Doublement initié par Vautrin et par sa cousine aux voies de la réussite, Rastignac résiste aux tentations du premier, qui lui suggère de s’intéresser à Victorine, et c’est avec Mme de Nucingen qu’il se lie, partageant théâtres, bals, salles de jeux — et plus tard un appartement que Goriot aura aménagé pour leurs rendez-vous. Cependant, deux autres pensionnaires effacés de la maison Vauquer, Mlle Miconneau et M. Poiret, circonvenus par le chef de la sûreté, permettent de percer à jour le mystère de M. Vautrin, sous l’identité duquel se cache le forçat Jacques Collin, dit « Trompe-la-Mort ». Avant son arrestation, Vautrin a réussi à faire assassiner le frère de Victorine, libérant de ce fait un énorme héritage en sa faveur. L’exigence des filles Goriot grandit avec leurs dettes. Sauvées par Rastignac, elles excèdent leur père, qui tombe malade. Bianchon, ami de Rastignac, autre habitué de la pension, diagnostique une mort imminente. Malgré les soins que lui prodiguent les deux étudiants, le vieillard meurt délaissé de ses filles, après les avoir maudites puis bénies. Rastignac, qui aura assisté aux adieux de Mme de Beauséant abandonnée par son amant, à l’arrivée trop tardive de Delphine de Nucingen près du cadavre de son père, accompagne seul les funérailles de Goriot au Père-Lachaise. Il sait désormais tout du monde : il peut défier la capitale
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